Revue de presse Kaléidoscope Elsa Grether

L’intégralité de la revue de presse est consultable ici : http://castel-production.com/wp-content/uploads/2017/12/Extraits-articles-presse-Kal%C3%A9idoscope-Elsa-Grether.pdf


♦   GRAMOPHONE, Charlotte GARDNER : « The French violinist Elsa Grether isn’t such a well-known name in the UK, but her recording of Bloch’s two violin sonatas was enthusiastically received in these pages by Edward Greenfield (9/13). I’m about to continue in that enthusiastic vein here ».
« La violoniste Elsa Grether n’est pas tellement connue au Royaume-Uni, mais son enregistrement des deux sonates de Bloch avait reçu un accueil enthousiaste dans ces pages par Edward Greenfield en septembre 2013.  Je vais poursuivre avec le même enthousiasme ».

« To say Grether has met her brief is an understatement. This is easily my favourite solo recital in quite some while ».
« Dire que Grether a atteint son but est une évidence. Il s’agit tout simplement de mon récital solo favori depuis longtemps ».

Pour lire la critique en entier :
https://www.gramophone.co.uk/review/elsa-grether-kaleidoscope


♦   DIAPASON, Jean-Michel MOLKHOU : « … Rares sont les interprètes qui explorent les trésors plus insolites comme le fait Elsa Grether, après deux albums aux programmes déjà judicieux (…) Elle confirme la personnalité de son style. Sa flamme intérieure anime des phrasés vivants, et la maîtrise des lignes polyphoniques ne tombe jamais dans l’emphase. Rien de péremptoire ici ni d’artificiel, rien de maniéré ni de racoleur, et une naturelle qualité d’intonation ».


♦  CLASSICA, Michel Le Naour : « l’archet souple, la noblesse de jeu et la richesse de coloris du violon d’Elsa Grether donnent à cet enregistrement toute sa valeur ».


♦   PIZZICATO MAGAZINE, Uwe Krusch : « French violinist Elsa Grether combines typical works as well as slightly unusual pieces from Albeniz, Honegger and Khachaturian and the really extraordinary Métal Terre Eau by Ton-That Tiet. Grether’s playing is technically outstanding, dynamic and vivid, with a silky timbre ».

« La violoniste française Elsa Grether combine des œuvres typiques avec des œuvres légèrement plus inhabituelles d’Albeniz, Honegger et Khatchaturian, ainsi que le magnifique Métal Terre Eau de Ton-Thât Tiêt. La technique de jeu de Grether est extraordinaire, dynamique et vivante, avec un timbre soyeux ».

Elsa Grethers weitgespreiztes Soloalbum


♦   ARTAMAG, Jean-Charles Hoffelé : « Programme autour de la note ré, savamment composé, de Bach à Tôn Thât Tiêt (les deux premières plages enchaînent, créant une correspondance fulgurante) où Elsa Grether dévoile ce que le violon n’est pas immédiatement pour tout un chacun : un instrument multiple, capable des polyphonies les plus expressives, ce que la Chaconne de la Deuxième Partita de Bach, manifeste brandi par les violonistes depuis que Georges Enesco en fit son étendard, proclame, mais aussi d’un discours poétique où la suggestion sonore inféode la forme elle-même.

Sommet du disque, la vaste Sonate en quatre mouvements écrite par Arthur Honegger au cœur de la Seconde Guerre mondiale, qui cherche justement chez Bach une spiritualité ardente que le Presto final magnifie de ses arpèges inextinguibles, parole brûlante que l’archet de la jeune violoniste déploie en oriflamme.

L’album a d’ailleurs deux versants, le savant, et le populaire : la Sonate-monologue de Khatchatourian cousue de thèmes arméniens est injustement délaissée aujourd’hui, mais côté folklore, c’est la stupéfiante transcription de l’Asturias d’Albéniz signée par Xavier Turull, qui me tire l’oreille. L’original pour piano y faisait entendre une guitare, Elsa Grether y fait voir des gitans, entendre les mélismes d’un cantaor, en avive le feu noir.

Pourtant, c’est à la Sonate « Ballade » d’Eugène Ysaÿe que je reviens sans cesse. Elsa Grether en sculpte le récitatif intense d’un archet profond, en magnifie le ton de légende désolée, trouvant derrière l’âpreté de la ligne tout un monde quasi expressionniste. Ce violon est un orchestre. »

http://www.artalinna.com/?p=8596